Marie-Octobre, pièce de Jacques Robert, Julien Duvivier et Henri Jeanson.
Ils étaient douze. Douze résistants unis par le feu de l’engagement, liés par le sang versé et les serments murmurés dans l’ombre. Mais ce soir, Marie-Octobre les convoque. Ce n’est pas un hommage. Ce n’est pas un dîner d’anciens combattants. C’est un tribunal.
Car Pierre Castille, chef du réseau « Vaillance », est tombé sous les balles de la Gestapo. Et Marie sait désormais que l’un d’eux a trahi.
Dans le salon feutré, les masques tombent. Les silences deviennent des armes, les souvenirs des pièges. Et chacun, tour à tour, devra affronter le regard des autres et celui de sa propre conscience.
Un huis clos implacable, où la vérité n’est pas une lumière… mais un feu qui se consume..